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Le mystére parasuram

On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde, aurait dit Pierre Desproges.

 

J’ai pris le parti d’écrire une comédie « brune », contemporaine, grave et burlesque, en tentant de rire d’une situation « clochemerlesque », dans une bourgade fictive du Morbihan, bien nommée La Bonneville, qui n’a rien à envier à celle inventée en Beaujolais, dans les années trente, par Gabriel Chevallier.

Il ne s’agit pas de l’implantation d’une vespasienne à proximité de l’église, mais d’un centre d’accueil de demandeurs d’asile dans l’ancien presbytère désacralisé. Au concours Lépine des idées racistes, l’extrême droite s’impose, étendard brandi par l’ancien maire qui n’a pas digéré son échec aux dernières élections au profit d’une femme, juive de surcroît.

Un petit bonhomme tombé d’on ne sait où, qui ne parle aucune langue connue, à la peau si noire qu’on pourrait le prendre pour un « nègre », va mettre le feu aux poudres.

Dès lors, la poussée de fièvre xénophobe à La Bonneville prendra des proportions calamiteuses au risque de mettre des vies en péril.

 

Qui est ce traîne-misère, ce renifle-poubelle, ce mendigot, ce galvaudeux ramassé sur une voie de chemin de fer ? 

 

C’est le Mystère Parasuram.

Le mystére parasuram

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